Démarrage de CAP’ENERGIE, Les aides Rhône-Alpes aux PME donnent priorité à l’énergie

Doté de 15 millions d’Euros, le plan PME fait une part belle à l’amélioration de la performance énergétique des PME industrielles à travers le démarrage effectif en ce début de juillet de l’action collective ACCES CAP’ENERGIE.

Un petit nombre  d’experts sélectionnés en performance énergétique dans l’industrie, dont fait partie notre bureau d’études SUNVALOR, s’est regroupé autour des centres techniques (CETIM, CETIAT…) pour accompagner les PME à améliorer la performance énergétique de leur outil de production (exemple process, compreseur…)

logo plan PME

 

L’opération revêt un caractère ‘d’obligation de résultat’ à très court terme (c’est bien une opération coup de poing), il ne s’agit pas de réaliser un audit énergétique seulement, mais de rapidement se focaliser sur une cible énergétique concrète à réduire et de mesurer la performance de la solution préconisée à travers un instrument de mesure dédié.

L’accompagnement des PME dans la mise en œuvre des solutions identifiées est une première dans ce type d’action collective, notamment à travers la mobilisation d’aide à l’investissement…

Les PME ciblées sont, bien entendu, celles qui ont la volonté ferme de réduire leur consommation énergétique tout en améliorant la compétence de leurs collaborateurs sur ce sujet, plusieurs séminaires de formation sont prévus pour les participants à l’action collective ACCES CAP’ENERGIE.

Aucune priorité n’est donnée à un secteur d’activité plutôt qu’un autre, seul le caractère de PME (définition européenne) est obligatoire pour bénéficier de la subvention régionale et ADEME, les filiales de groupe peuvent y être admises sous conditions, cependant avec une subvention moindre.

Pour plus d’information nous laisser un message sur marketing at sunvalor.com

SUNVALOR est un bureau d’études spécialisé en audit énergétique dans les procédés industriels et le bâtiment, les études de faisabilité énergies renouvelables et le Bilan Carbone. SUNVALOR accompagne ses clients pour la mise en place du système de management de l’énergie et de la certification ISO 50001.

Plus d’infos sur SUNVALOR : www.sunvalor.com

Le Système de Management de l’Energie ISO 50001

Le fondement de l’amélioration continue que prône la normalisation est la mise en place du système de mangement aussi bien dans le domaine de la qualité (ISO 90001) ou l’environnement (ISO 14001) ou encore tout récemment l’énergie (ISO 50001).

L’amélioration continue est assurée par l’approche (PDAC) Plan, Do, Check et Act telle que décrite dans la roue de DEMING et permet de s’engager sur un objectif, se donner les moyens et mobiliser, et ensuite de contrôler les résultats et rectifier le tir.

 

roue de DEMING

La nouvelle venue des normes ISO concerne l’énergie et fait suite à un effort de concertation mondial, dans lequel l’Europe à bien pesé de tout son poids, notamment avec d’abord une version européenne l’EN16001 qui a eu suffisamment de recul depuis sa parution en 2009, et bien sûr le référentiel de bonne pratique BPX30-120 qui encadre le diagnostic énergétique et qui existe depuis 2006.

 

La mise en place du système de management de l’énergie (SMé) peut s’avérer beaucoup plus pertinent dans la mesure où l’énergie est un enjeu important dans le coût de revient et sa maitrise permet de réduire le risque de voir les coûts s’envoler et sa marge avec.

 

Dans la pratique, forcer son organisation à penser à l’énergie dans l’acte d’achat, mais également dans le comportement humain et l’optimisation du procédé de production, et cela à travers les étapes suivantes :

– Revue énergétique, mettant en avant les objectifs d’amélioration et cibles chiffrés

– Enoncé de la politique et l’engagement de la direction par des moyens

– Surveillance et mesure de l’amélioration de la performance énergétique et son suivi

La mise en place de la SMé est flexible, s’adapte aux contraintes et convient parfaitement à des PME souhaitant maitriser leurs dépenses énergétiques conséquentes, bien évidemment l’industrie est très concernée mais également les services, mais également les entreprises et collectivités.

La rénovation du parc tertiaire encouragée par le dispositif des CEE


Le tertiaire représente un parc de 850 millions de m², dont  400 millions de m² appartenant au parc public, et 450 millions de m² appartenant au parc privé, sa rénovation est un réel défi financier et d’organisation.

La loi Grenelle 2 prévoit une obligation de travaux afin d’atteindre l’objectif de réduction de 38% d’ci 2020, et cela pour l’ensemble du parc tertiaire public ou privé.

Une large concertation est en cours autour des groupes de travail du plan bâtiment-Grenelle pour définir les contours de cette obligation qui se heurte aux moyens financiers gigantesques à mobiliser, cette concertation semble déboucher sur une première phase courant jusqu’au 1er janvier 2015, avec un objectif de gain minimum à réaliser de 25% et une deuxième phase de 2015 à 2020, avec une augmentation des objectifs, modulée en fonction des spécificités de chaque catégorie de parc tertiaire, 38% de réduction étant la finalité en 2020.

Dans ce contexte de négociation, l’arrêté du 28 mars 2012 définissant les opérations standardisées d’économie d’énergie, vient renforcer les incitations via les certificats d’économie d’énergie (CEE) pour la rénovation dans le tertiaire.

L’arrêté prévoit, en effet, que si la réalisation d’opérations de rénovation avec pour but principal d’économies d’énergie, s’accompagne de la mise en place d’un système de management de l’énergie (SMè) et débouchant sur la certification ISO 50001, le nombre des CEE sera bonifié d’un coefficient de 1,5 voire 2.

Ce bonus bénéficiera au maitre d’ouvrage et peut représenter, selon l’ampleur de la rénovation, le coût de la mise en place du système de management de l’énergie et de la certification ISO 50001.

Cet avantage donné aux maitres d’ouvrage propriétaires de bâtiment tertiaire, pourra s’avérer très utile car permettra, suite à une rénovation énergétique lourde, d’assurer une réduction effective à l’usage de la facture énergétique de l’occupant grâce à la mise en place du SMè, et c’est bien cela ce que recherchent les locataires du parc tertiaire.

A titre de rappel, la rénovation du bâtiment existant est soumise aux exigences de la ‘RT existant’ et dépend de la surface SHON, du coût total des travaux de rénovation, et de la date de construction.

Exigences de la RT globale :

S’appliquant aux bâtiments dont la surface SHON est supérieure à 1000m2, construits après le 1er janvier 1948 et dont le coût des travaux dépasse 25% de la valeur du bâtiment, l’arrêté du 13 juin 2008 s’applique dans ce cas et doit présenter après travaux un gain de 30% par rapport à la consommation énergétique antérieure, notamment pour les composants isolation, ventilation et chauffage.

Exigences RT élément par élément :

Concerne les bâtiments tertiaires dont la surface est inférieure à 1000m2 (peu importe la date de construction) ou pour les bâtiments de plus de 1000m2 et dont la construction est antérieure au 1er janvier 1948 et dont le coût de rénovation dépasse 25% de la valeur foncière, dans ce cas l’arrêté du 3 mai 2007 s’applique et définit une exigence minimale pour les éléments remplacés suivants : parois opaques, parois vitrées, chauffage, eau chaude sanitaire, refroidissement, ventilation, éclairage des locaux, énergies renouvelables

L’audit thermique des procédés industriels

Bien que l’intensité énergétique de l’industrie s’est fortement améliorée sur les 20 dernières années, la demande en énergie thermique de l’industrie (chaud et froid) continue de représenter plus de 20% de la demande globale en Europe tous secteur confondu.

 

Une problématique majeure reconnue par tout les spécialistes des procédés, ils s’accordent à dire que pour aller plus loin et sonder les possibilités d’amélioration de l’efficacité énergétique , il faudra réunir des spécialistes à la fois des procédés industriels et des techniques d’optimisation de flux thermiques, ces compétences sont rares et coutent cher.

Par ailleurs l’ingénieur procédé devient très vite le spécialiste absolu de sa ligne de production, et a certainement fait ce qu’il faut pour optimiser son rendement et imagine rarement une amélioration importante sans modification profonde de la technologie, et donc un investissement conséquent.

L’industriel manque certainement de temps et de compétence pour développer les études liés à la fourniture de chaleur et de froid et préfère se concentrer sur les problèmes de tout les jours : la qualité, la réduction des coûts, la cadence…

De l’autre côté l’ingénieur spécialiste de l’audit énergétique a rarement les connaissances et l’expérience de la diversité des procédés  existants, et de leur optimisation.

Pour cela il est judicieux de penser que l’optimisation des procédés est à considérer indépendamment de  l’optimisation énergétique, la récupération de chaleur ou le recours à l’énergie solaire thermique peuvent améliorer le bilan énergétique des procédés sans pour autant les modifier.

L’Europe à travers le programme Einstein (Intelligent energy europe) a depuis longtemps alloué des ressources pour le développement d’un outil qui, à partir d’un besoin en énergie thermique fixée d’avance pour une ligne de production, s’emploie  à optimiser la production, le stockage et le transport d’énergie.

A travers plusieurs expériences pratiques d’un grand nombre d’audit énergétique dans différents secteurs industriels et de bâtiment, la méthodologie a été affinée et surtout le temps d’intervention de l’auditeur a été réduit considérablement, aidé pour cela par  une base de données européenne permettant un benchmark entre plusieurs secteurs industriels et types de procédés.

Seul les gisements importants d’optimisation sont explorés, la méthodologie débouche assez vite sur une orientation prioritaire et ne s’arrête pas à ce niveau, l’outil permet également le dimensionnement d’installation de récupération de chaleur, d’échangeur ou de pompe à chaleur, ou encore d’équipement solaire thermique…

Les industriels peuvent bien évidemment profiter de cet outil simple d’aide à la décision, mais surtout les entreprises industrielles de taille petite et moyenne, pour qui aucune solution d’audit convenable n’était disponible sans faire intervenir une étude lourde et couteuse.

En Rhône alpes à titre d’exemple, d’après les chiffres du schéma climat air énergie datant de février 2011,

Le gisement d’économie d’énergie identifié dans l’industrie s’élève à 64Twh, les moteurs électriques représentent la part la plus importante d’économie avec potentiellement 23.5Twh, ensuite vient le chauffage des locaux avec 12.3Twh de potentiel.

Le chauffage des locaux pourra largement profiter de l’optimisation de l’énergie thermique des procédés, à travers la récupération de chaleur et son usage pour chauffer les ateliers et les bureaux.

Le reste de l’effort de l’industrie devra se focaliser sur les autres gisements tel que la ventilation, l’air comprimé et enfin l’éclairage.

Le Contrat de Performance Energétique pour le patrimoine privé, quelle portée ?

Le CPE a été introduit par l’article 5 du Grenelle 1 (loi du 3 août 2009), la définition du CPE a pourtant évolué depuis et semble se résumer au contrat conclut entre le maitre d’ouvrage et un opérateur sur la base d’une garantie de diminution des consommations énergétiques, cette diminution servira à rémunérer l’opérateur en contre partie de l’investissement réalisé en rénovation et équipement pour l’atteindre.

Le patrimoine public a pris une longueur d’avance, car hormis l’obligation ‘Etat exemplaire’ initiée par le Grenelle, les collectivités sont habituées aux appels d’offres pour les contrats d’exploitation et n’ont pas eu beaucoup de mal à intégrer le CPE, les bailleurs privés sont par contre beaucoup moins habitués à ce type de mécanisme.

Plusieurs exemples de rénovation (lycées en région d’Alsace, logement social en IDF) ont retenu le CPE comme moyen pour faire supporter l’investissement dans la rénovation et l’équipement à l’opérateur et payer cet opérateur par les économies d’énergie réalisés.

Le parc privé résidentiel connaîtra à son tour une révolution dans les prochaines années, l’obligation est faite aux syndics de copropriété par le Grenelle 2 notamment, de réaliser un audit énergétique sur le bâti et l’équipement, et cela par un bureau d’études indépendant, qui pourra par la suite assister le maitre d’ouvrage dans la procédure de consultation des opérateurs et l’aider à faire le meilleur choix.

Ensuite la copropriété doit faire voter dans les 5 ans un plan de travaux ou sélectionner un opérateur pour mettre en place un CPE, avec pour objectif la réduction de 20% des consommations énergétiques à minima.

Cette obligation concerne tous les immeubles équipés d’une installation collective de chauffage, et cela dans les 5 ans à partir du 1er janvier 2012.

Le parc tertiaire estimé à 0.8 Milliard de m2, quand à lui, sera concerné dès le début de l’année 2012, date à laquelle les recommandations définitives du plan bâtiment grenelle seront débattues et adoptées.

Quel avantage apporte donc le CPE au patrimoine privé résidentiel et tertiaire ?

-Sur les aspects Juridiques : si le support du contrat d’exploitation classique est celui à privilégier, celui-ci sera amendé pour introduire la garantie de résultat d’amélioration de l’efficacité énergétique, avec bien entendu l’option du financement des investissements par l’opérateur qui peut comprendre entre autres l’isolation, l’équipement, la maintenance…

-Pour la maintenance : l’opérateur/exploitant fournissant une garantie de résultat a tout intérêt à contrôler la maintenance des équipements de chauffage ou de ventilation, et à veiller à faire un suivi régulier pour détecter tout type de dérive du coût, et notamment les problèmes de comportement comme de laisser la fenêtre ouverte en hiver avec le chauffage en marche…

-La valorisation du patrimoine : Le CPE offre une nouvelle valorisation du patrimoine non plus liée aux conditions du marché de l’immobilier mais, du moins partiellement, lié au coût d’exploitation, il sera de plus en plus difficile d’avoir un retour locatif au prix du marché si la performance énergétique n’est pas rétabli et notamment grâce au CPE.

Est-ce que le CPE va résoudre tout les problèmes financiers liés au poids de la rénovation ? Certainement non.

En effet, il est peu probable que le CPE pourra couvrir financièrement le coût total de la rénovation y compris l’isolation ou la remise aux normes, mais le CPE aura au moins l’avantage de faciliter aux propriétaires la prise de décision notamment quand la valeur du bien se retrouve impactée.

Le Bilan Carbone® dans les projets d’urbanisme




Le Bilan carbone dans sa version territoire (dédiée aux collectivités) devient grâce au Grenelle 2, de plus en plus ‘La’ méthodologie essentielle pour l’évaluation des émissions de gaz à effet de serre sur un territoire donné, Le Bilan Carbone peut être réalisé :

Soit lors des phases de diagnostic préalable à un projet d’urbanisme pour faire ressortir les postes d’émission les plus importants, et sur lesquels la marge de progrès est la moins couteuse.

Soit lors de l’évaluation de l’existant ou ‘état initial’, la simulation prévisionnelle des émissions par le bilan carbone dans la phase projet devient un véritable outil d’aide à la décision.

L’ADEME a réalisé récemment une étude sur l’intégration de la méthode Bilan Carbone dans les projets d’aménagement, élaboration SCOT ou PLU, étude d’impact, vous trouverez plus d’infos sur http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=15729&m=3&catid=22544

 

Vivement la parité réseau ?

Le décret du 9 Décembre dernier qui a stoppé net tous les projets photovoltaïques en cours, et au passage annulé de manière rétroactive de nombreux projets déjà autorisé, a en même temps fait remonter à la surface une question majeure :

A quand la parité réseau ? Cette fameuse parité pour laquelle le Kwh photovoltaïque serait au même niveau de prix que le Kwh nucléaire ou issu de centrale thermique.
parite reseau
Pour la France la parité réseau serait atteinte aux alentours de 2015-2020 alors que plusieurs études indépendantes suggèrent qu’on y est déjà.

La raison est simple, une partie du coût du KWh nucléaire est cachée, cette partie concerne les subventions massives dont le nucléaire a bénéficié depuis 40 ans, et continue à ce jour plus que jamais à réclamer davantage, si le nucléaire n’est toujours pas rentable après 40ans, est ce qu’il le sera un jour ??

Si en effet on tient compte du coût global du nucléaire (production combustible, infrastructure, provisions pour risque de catastrophe, enfouissement, démantèlement…) le solaire est déjà plus compétitif que le nucléaire, voir à ce sujet l’étude comparative réalisée par deux experts de renommée mondiale sur le cas de la Caroline du Nord.

S’il est judicieux de tenir compte dans la composition du mix énergétique des sources disponibles localement, économiques et non polluantes, il n’est pas question pour autant d’exclure le nucléaire mais, il est impératif de garder un œil sur le coût total/Kwh, l’externalité (ou coût caché) finira par altérer notre compétitivité…

A titre d’illustration, si le coût du photovoltaïque continue de baisser à ce rythme et le prix de l’électricité à augmenter, il sera aisément possible de s’affranchir des subventions pour le photovoltaïque, et pour qu’un  consommateur moyen (industriel par exemple) puisse installer sur son toit une centrale photovoltaïque produisant de l’électricité qui sera auto consommée, cela pourra être valorisé en réduction de coût de transport et de surcharge du réseau.

N’oubliant pas que la voiture électrique se généralisant, la croissance du marché de l’électricité atteindra des sommets, et charger sa voiture sur le parking du lieu de travail (de source solaire) pendant la journée deviendra un geste économique avant d’être un geste écologique.

TOUCHE PAS A MON PANNEAU SOLAIRE

Frustration collective, thérapie de groupe ou révolution en marche, le formidable rassemblement crée par Ariane Vennin sur facebook au lendemain du décret destructeur du 9 décembre 2010.
logo TPAMPS
Depuis ce décret qui a donné un coup d’arrêt à tout les acteurs du photovoltaïque en France, le groupe de professionnels affiche plus de 3400 membres et surtout un échange intense d’avis et d’information.

Le groupe ‘Touche pas à mon panneau solaire’ semble répondre à un besoin accru, qui ne pouvait pas être adressé à travers les représentations classiques (syndicat, association professionnelles…), il répond aux préoccupations suivantes :

– Le sentiment d’un certain nombre de TPE/PME/PMI de ne pas être écouté par les décideurs, ou quasiment ignoré au profit de l’acteur historique de l’électricité en France.

– Le sentiment d’une volonté affichée de la part des décideurs de tromper l’opinion publique en annonçant des faits complètement erronés mais matraqués par plusieurs responsables à longueur de journée, et qui finissent par devenir une réalité, (écouter l’émission France Info à ce sujet du 08 janvier sur France infos mise en ligne par Tecsol)

Le sky village, un nouveau concept pour une construction flexible




Les architectes MVRDV et ADEPT ont remportés le concours de la municipalité de Rødovre au Danemark pour la construction d’une gratte ciel de 116 mètres de hauteur incluant un hôtel, bureaux et appartements d’habitation.

L’originalité de la structure est qu’elle se compose, tel un légo géant,  d’unités indépendantes  ‘pixels’ de 60m2, ces pixels peuvent être déplacés  pour agrandir un appartement ou un espace de bureaux selon les besoins.

La structure intègre des sources d’énergie solaire sur les façades et un circuit de recyclage pour l’eau grise, et utilisera 40% de béton recyclé.

Plus d’infos : http://www.contemporist.com/

 

Les nouveaux tarifs de l’électricité photovoltaïque parues au JO

Les nouveaux tarifs remplacerait dès le 12 janvier 2010, jour de parution de l’arrêté au journal officiel, le tarif de 60cts/kwh jusque là destiné à l’intégré au bâti sera remplacé par 2 tarifs: 58cts pour les bâtiments à usage d’habitation et de bureaux, et 50cts pour les autres bâtiments (industriels, agricoles…), la condition du clos et couvert est remplacée par la couverture sur toutes les faces latérales du bâtiment…l’arrêté du 12 janvier 2010