SUNVALOR – Audit Energie

L’audit énergétique : une nouvelles échéance pour votre entreprise au 5 décembre 2019

Depuis la mise en œuvre de l’article 40 de la loi DDADUE en 2015, L’audit énergétique réglementaire doit être mis en place et renouvelé tous les 4 ans, les entreprises éligibles devront à nouveau se soumettre à cette obligation et déposer les rapports d’audits sur la plate-forme de l’ADEME avant le 5 décembre 2019.

Chez SUNVALOR, nous mettons à votre disposition un expert spécialisé avec plus de 10ans d’expérience, dans les procédés industrielles ou les usages énergétiques dans le tertiaire, un œil neuf et expérimenté qui vous aidera à comprendre votre profil de consommation et proposer les actions de performance énergétique.

Notre plate-forme de collecte des données énergétiques facilite la collecte des données, associée aux équipements de mesures que nous mettons en place (ou qui sont déjà en place), économise un temps précieux pour se concentrer sur l’essentiel.

A savoir passer du temps sur site et construire conjointement des actions d’économie d’énergie pertinentes.

L’audit énergétique réglementaire dans les grandes entreprises

Article actualisé le 20/05/2024 voir https://sunvalor.com/audit-energetique-batiment/ ou https://sunvalor.com/audit-energetique-industrie/

Les grandes entreprises devront avoir réalisé un audit énergétique de leur activité d’ici le 5 décembre 2015 puis le renouveler tous les 4 ans.

Qui est concerné?

Toute les personnes morales inscrites au registre du commerce et des sociétés, selon le Numéro de SIREN, les entreprises avec l’une des conditions suivantes:

+ plus de 250 salariés

+ ou Plus de 50Mio€ de chiffre d’affaires

+ ou plus de 43Mio€ de total du bilan.

Sont soumises à l’obligation d’audit énergétique selon le décret 2013-1121 du 4 décembre 2013, et celà avant le 05 Décembre 2015 et à renouveler tout les 4 ans.

Quel périmètre?

L’audit énergétique devrait couvrir à minima 65% de la facture énergétique pour les audits réalisés avant le 05 Décembre 2015, et 80% au delà.

Les audits doivent couvrir selon les cas, les bâtiments, procédés et utilités, et transport, les normes de référence sont les normes européennes EN 16247-1 à 5 doivent constituer le cahier de charge de référence pour l’auditeur.

Il est possible dans le cas de plusieurs bâtiments avec une structure et un fonctionnement similaire de procéder à un échantillonnage, et de constituer des sous ensembles similaires, la racine carré du nombre de bâtiment de chaque sous ensemble sera effectivement audité, et ensuite extrapolé à la totalité du sous ensemble correspondant.

Exemple : Une entreprise comporte 3 sous-ensembles similaires :
1) 120 agence dont 80 regroupent 65% des consommations du sous-ensemble
2) 11 sites logistique, dont 8 regroupent 65% des consommations du sous-ensemble.

4) 14 sièges bâtiment de bureaux, dont 10 couvrent 65%

→ Le périmètre de l’audit énergétique correspond à 98 sites : 80 agences, 8 sites logistique et 10 sites de bureaux. Le taux de couverture de l’audit correspond à 65% de la facture des 145 sites.
Conformément à la méthode d’échantillonnage, la taille des échantillons correspond à :

→ 9 agence (racine carrée de 80 arrondie au nombre entier supérieur)

→ 3 sites logistique (racine carrée de 8 arrondie au nombre entier supérieur)

→ 4 sites de bureaux (racine carré de 10 arrondi au nombre entier supérieur)
Sur les 145 sites, 98 font partie du périmètre de l’obligation ; l’entreprise peut limiter les audits à 16 sites (9 agences, 3 logistique et 4 bâtiment de bureaux).

Qui peut réaliser l’audit?

Un prestataire externe titulaire d’un ou plusieurs qualifications (notamment bâtiment, procédés et transport), et certifié par un organisme accrédité par la COFRAC.

L’OPQIBI délivre les qualifications notamment 1905 pour les bâtiments et 1717 pour les procédés.

L’audit peut être réalisé par un auditeur interne à l’entreprise à condition de démontrer des compétences équivalentes, un arrêté est attendu pendant le troisième trimestre de 2014 pour définir la modalité des accréditations des auditeurs.

Qui peut être exempté?

Les entreprises certifiés selon l’ISO 50001 avant le 5 Décembre 2015 ou mettant en œuvre un audit énergétique dans le cadre de l’ISO 140001, peuvent être exempté de la réalisation de l’audit réglementaire et son renouvellement tout les 4 ans.

 

Le bilan de performance de l’air comprimé

L’air comprimé est une énergie coûteuse, même si l’investissement de départ reste raisonnable pour un site industriel, le coût d’exploitation et les dérives constatées souvent coûtent cher et nécessitent un suivi particulier, les coûts des fuites et d’exploitation sont largement prédominante sur la durée de vie du compresseur, une bonne conception et surtout une adaptation au besoin bien étudiée sont des pré requis pour une station d’air comprimé optimisé, la variabilité entre une station optimisé (pas plus de 18% de rendement) et une autre qui ne l’est pas fait passer  le coût du m3 d’air comprimé de 0.7 cts à 6 cts€ HT (source ADEME).

 

Notre solution:

Le bilan de performance de votre installation démarre par un comptage instrumenté sur une durée d’une semaine:
Une mesure spécifique d’appel de puissance sera réalisée sur l’alimentation du compresseur, mesure de débit d’air en sortie du sécheur , mesure de la pression, température et point de rosée.

La mesure simultanée du débit d’air au niveau de chaque utilisateur ou groupe d’utilisateur complétera les données qui seront analysées, les résultats suivants seront extraits : la consommation spécifique coût en € et en wh / Nm3 utilisé, déduction des fuites, perte de charge du réseau, la consommation en air comprimé d’une utilisation particulière…

Une série de préconisation est émise pour optimiser l’installation d’air comprimé, notamment avec chiffrage des économies en face de chaque action:

 

•Etude des besoins, optimisation à la conception, réduire la pression de service

•Utilisation de variateur de vitesse

•Récupération de chaleur pour chauffage de l’ambiance ou préchauffage d’eau chaude

•Réduire les pertes de charge dans le réseau de distribution

•Traitement de l’air, prise d’air frais, séchage pour éviter la condensation, filtration

•Campagne de recherche de fuite (2 par an), remplacement des raccords

•Comptage de l’énergie en continu, mesure du débit de l’air comprimé (Nm3/h)

 

Le déploiement de CAP’ENERGIE en Rhône-Alpes continue

L’action collective CAP’ENERGIE faisant partie du plan PME de la région Rhône Alpes continue son déploiement, à travers le recrutement d’entreprises industrielles pouvant bénéficier du programme à travers les trois volets :

-Audit énergétique des procédés de production et éventuellement du bâtiment

-Formation du référent de l’entreprise sur les thèmes des utilités/process

-Compagne de comptage d’une ou des énergies, accompagnement dans la mise en œuvre des préconisations par un expert énergéticien process

Les experts de CAP’ENERGIE (dont SUNVALOR) ont déjà finalisé une vingtaine d’entreprises engagé dans l’action collective sur les 30 prévues, ce qui veut dire qu’il reste de la place pour profiter des subventions et aides à l’investissement de la région et l’ADEME, l’ADEME a par ailleurs accordé 5 places aux non PME intéressé par le programme et avec une subvention de 30%.

SUNVALOR réalise l’audit énergétique industriel dans le cadre de l’action collective CAP’ENERGIE

Expertise et suivi de la performance énergétique

Un petit nombre  d’experts sélectionnés en performance énergétique dans l’industrie, dont fait partie SUNVALOR, s’est regroupé autour du pilote de projet CETIM (Centre technique des industries mécaniques) pour déployer CAP’ENERGIE et accompagner les PME Rhône Alpine à améliorer la performance énergétique de leur outil de production.

L’action collective a reçu le soutien financier de l’ADEME et de la région Rhône Alpes et cible une trentaine de PME.

CAP’ENERGIE revêt un caractère ‘d’obligation de résultat’ à très court terme (c’est bien une opération coup de poing).

Il s’agit de réaliser un audit énergétique certes, mais ensuite de se focaliser sur une cible énergétique concrète à réduire et de mesurer la performance de la solution préconisée à travers un instrument de mesure dédié.

L’accompagnement des PME par un expert pendant 12 mois dans la mise en œuvre des solutions identifiées, est une première dans ce type d’action collective, notamment à travers la mobilisation possible d’aide à l’investissement…

La nouveauté réside également dans le programme de formation dédié aux collaborateurs des PME participantes pour améliorer leurs compétences dans le domaine de l’énergie et des utilités.

Coût de l’opération

Le coût de l’opération pour une PME est pris en charge à hauteur de 70%, sur une valeur de prestation de 9000Eur seul un montant de 2700Eur reste à la charge de l’entreprise. La prestation inclue l’octroi d’un compteur d’énergie d’une valeur de 500€.

Les filiales de groupes non PME peuvent accéder à CAP’ENERGIE sous conditions et avec une subvention moindre.

Les entreprises intéressées pour intégrer l’action collective CAP’ENERGIE sont invitées à nous contacter au 0951309033

SUNVALOR est un bureau d’études spécialisé en audit énergétique dans les procédés industriels et le bâtiment, les études de faisabilité énergies renouvelables et le Bilan Carbone. SUNVALOR accompagne ses clients pour la mise en place d’un système de management de l’énergie et de la certification ISO 50001.

Plus d’infos sur SUNVALOR

Démarrage de CAP’ENERGIE, Les aides Rhône-Alpes aux PME donnent priorité à l’énergie

Doté de 15 millions d’Euros, le plan PME fait une part belle à l’amélioration de la performance énergétique des PME industrielles à travers le démarrage effectif en ce début de juillet de l’action collective ACCES CAP’ENERGIE.

Un petit nombre  d’experts sélectionnés en performance énergétique dans l’industrie, dont fait partie notre bureau d’études SUNVALOR, s’est regroupé autour des centres techniques (CETIM, CETIAT…) pour accompagner les PME à améliorer la performance énergétique de leur outil de production (exemple process, compresseur…)

L’opération revêt un caractère ‘d’obligation de résultat’ à très court terme (c’est bien une opération coup de poing), il ne s’agit pas de réaliser un audit énergétique seulement, mais de rapidement se focaliser sur une cible énergétique concrète à réduire et de mesurer la performance de la solution préconisée à travers un instrument de mesure dédié.

L’accompagnement des PME dans la mise en œuvre des solutions identifiées est une première dans ce type d’action collective, notamment à travers la mobilisation d’aide à l’investissement…

Les PME ciblées sont, bien entendu, celles qui ont la volonté ferme de réduire leur consommation énergétique tout en améliorant la compétence de leurs collaborateurs sur ce sujet, plusieurs séminaires de formation sont prévus pour les participants à l’action collective ACCES CAP’ENERGIE.

Aucune priorité n’est donnée à un secteur d’activité plutôt qu’un autre, seul le caractère de PME (définition européenne) est obligatoire pour bénéficier de la subvention régionale et ADEME, les filiales de groupe peuvent y être admises sous conditions, cependant avec une subvention moindre.

Pour plus d’information nous laisser un message sur marketing at sunvalor.com

SUNVALOR est un bureau d’études spécialisé en audit énergétique dans les procédés industriels et le bâtiment, les études de faisabilité énergies renouvelables et le Bilan Carbone. SUNVALOR accompagne ses clients pour la mise en place du système de management de l’énergie et de la certification ISO 50001.

Plus d’infos sur SUNVALOR : www.sunvalor.com

Le Système de Management de l’Energie ISO 50001

Le fondement de l’amélioration continue que prône la normalisation est la mise en place du système de mangement aussi bien dans le domaine de la qualité (ISO 90001) ou l’environnement (ISO 14001) ou encore tout récemment l’énergie (ISO 50001).

L’amélioration continue est assurée par l’approche (PDAC) Plan, Do, Check et Act telle que décrite dans la roue de DEMING et permet de s’engager sur un objectif, se donner les moyens et mobiliser, et ensuite de contrôler les résultats et rectifier le tir.

La nouvelle venue des normes ISO concerne l’énergie et fait suite à un effort de concertation mondial, dans lequel l’Europe à bien pesé de tout son poids, notamment avec d’abord une version européenne l’EN16001 qui a eu suffisamment de recul depuis sa parution en 2009, et bien sûr le référentiel de bonne pratique BPX30-120 qui encadre le diagnostic énergétique et qui existe depuis 2006.

La mise en place du système de management de l’énergie (SMé) peut s’avérer beaucoup plus pertinent dans la mesure où l’énergie est un enjeu important dans le coût de revient et sa maitrise permet de réduire le risque de voir les coûts s’envoler et sa marge avec.

 

Dans la pratique, forcer son organisation à penser à l’énergie dans l’acte d’achat, mais également dans le comportement humain et l’optimisation du procédé de production, et cela à travers les étapes suivantes :

– Revue énergétique, mettant en avant les objectifs d’amélioration et cibles chiffrés

– Enoncé de la politique et l’engagement de la direction par des moyens

– Surveillance et mesure de l’amélioration de la performance énergétique et son suivi

La mise en place de la SMé est flexible, s’adapte aux contraintes et convient parfaitement à des PME souhaitant maitriser leurs dépenses énergétiques conséquentes, bien évidemment l’industrie est très concernée mais également les services, mais également les entreprises et collectivités.

L’audit thermique des procédés industriels

Bien que l’intensité énergétique de l’industrie s’est fortement améliorée sur les 20 dernières années, la demande en énergie thermique de l’industrie (chaud et froid) continue de représenter plus de 20% de la demande globale en Europe tous secteur confondu.

 

Une problématique majeure reconnue par tout les spécialistes des procédés, ils s’accordent à dire que pour aller plus loin et sonder les possibilités d’amélioration de l’efficacité énergétique , il faudra réunir des spécialistes à la fois des procédés industriels et des techniques d’optimisation de flux thermiques, ces compétences sont rares et coutent cher.

Par ailleurs l’ingénieur procédé devient très vite le spécialiste absolu de sa ligne de production, et a certainement fait ce qu’il faut pour optimiser son rendement et imagine rarement une amélioration importante sans modification profonde de la technologie, et donc un investissement conséquent.

L’industriel manque certainement de temps et de compétence pour développer les études liés à la fourniture de chaleur et de froid et préfère se concentrer sur les problèmes de tout les jours : la qualité, la réduction des coûts, la cadence…

De l’autre côté l’ingénieur spécialiste de l’audit énergétique a rarement les connaissances et l’expérience de la diversité des procédés  existants, et de leur optimisation.

Pour cela il est judicieux de penser que l’optimisation des procédés est à considérer indépendamment de  l’optimisation énergétique, la récupération de chaleur ou le recours à l’énergie solaire thermique peuvent améliorer le bilan énergétique des procédés sans pour autant les modifier.

L’Europe à travers le programme Einstein (Intelligent energy europe) a depuis longtemps alloué des ressources pour le développement d’un outil qui, à partir d’un besoin en énergie thermique fixée d’avance pour une ligne de production, s’emploie  à optimiser la production, le stockage et le transport d’énergie.

A travers plusieurs expériences pratiques d’un grand nombre d’audit énergétique dans différents secteurs industriels et de bâtiment, la méthodologie a été affinée et surtout le temps d’intervention de l’auditeur a été réduit considérablement, aidé pour cela par  une base de données européenne permettant un benchmark entre plusieurs secteurs industriels et types de procédés.

Seul les gisements importants d’optimisation sont explorés, la méthodologie débouche assez vite sur une orientation prioritaire et ne s’arrête pas à ce niveau, l’outil permet également le dimensionnement d’installation de récupération de chaleur, d’échangeur ou de pompe à chaleur, ou encore d’équipement solaire thermique…

Les industriels peuvent bien évidemment profiter de cet outil simple d’aide à la décision, mais surtout les entreprises industrielles de taille petite et moyenne, pour qui aucune solution d’audit convenable n’était disponible sans faire intervenir une étude lourde et couteuse.

En Rhône alpes à titre d’exemple, d’après les chiffres du schéma climat air énergie datant de février 2011,

Le gisement d’économie d’énergie identifié dans l’industrie s’élève à 64Twh, les moteurs électriques représentent la part la plus importante d’économie avec potentiellement 23.5Twh, ensuite vient le chauffage des locaux avec 12.3Twh de potentiel.

Le chauffage des locaux pourra largement profiter de l’optimisation de l’énergie thermique des procédés, à travers la récupération de chaleur et son usage pour chauffer les ateliers et les bureaux.

Le reste de l’effort de l’industrie devra se focaliser sur les autres gisements tel que la ventilation, l’air comprimé et enfin l’éclairage.

Copenhague, quel gâchis…




Je regarde avec stupéfaction ce qu’ont réussi à faire les Etats-Unis et la chine de l’enthousiasme de toute la planète pour imposer des engagements forts sur la réduction des GES.

Les intérêts nationaux ont encore primés, Mr Obama se plie aux exigences du congrès pourvu que sa réforme de la santé passe.

Je ne suis pas naïf, Copenhague n’a pas donné naissance à un gouvernement mondial décideur sur les sujets de l’environnement et dans l’intérêt de la planète, et cela n’est pas prévu en ce 21ème siècle, il faudra attendre.

D’un autre côté le grand perdant est le protocole de kyoto et le travail titanesque réalisé les 10 dernières années, le mécanisme de développement propre (MDP) était déjà dans le collimateur du congrès et du sénat américain, maintenant c’est officiel c’est un programme ‘bureaucratique et inefficace’ et en plus le non accord jette le doute sur sa reconduite post 2012 et tout un pan de l’économie du carbone pourra en souffrir.

Je ne comprends pas l’inflexibilité de la chine, le premier bénéficiaire des projets de développement propres des nations unies depuis déjà 10ans, Loin devant l’Afrique et l’Amérique du sud, le sommet de Copenhague était l’occasion pour la chine de mettre en avant ses avancées considérables dans le domaine de l’efficacité énergétique et  les énergies renouvelables et cela en si peu de temps.

A titre  d’exemple la production photovoltaïque chinoise était négligeable en 2002, en 2009 la chine est le leader mondial incontesté, après avoir détrôné l’Allemagne premier marché mondial et avec le japon le premier pays à avoir cru en l’énergie photovoltaïque.

Dans cette situation comment ne pas exiger de la chine un engagement ferme sur les émissions de GES ?  Pourtant La pire des choses qui peut arriver à l’Europe c’est d’avoir les contraintes liés à la réduction des émissions et l’utilisation des énergies renouvelables sans contrôler le marché du renouvelable crée.

Il est urgent de négocier à arme égale, avec la chine et de proposer de taxer les produits en fonction de leur intensité énergétique et poids en carbone, la barrière juridique de l’OMC n’est pas infranchissable, il suffirait de trouver la parade…